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INVITATION

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Je suis à Québec pour quelques jours, si vous avez du temps, venez nous rejoindre dans nos activités.

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5 à 7 ville de Québec le 17 janvier

5 à 7 ville de Québec le 17 janvier

Bonjour à tous les passionnés de la ville de Québec, venez avec nous samedi soir le 17 à notre lancement de produits …..bien relaxe, on va parler de chasse, et si vous venez jaser avec nous, on va faire tirer des échantillons pour vos salines et des bons rabais pour vos voyages de pêche et chasse 2015 !!!

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Motoneige dans les Laurentides

Motoneige dans les Laurentides

Belle journée de motoneige avec mes fils. On a peut être trouver des nouveaux territoires de chasse en ”ridant”. Rien de mieux qu’un peut de hors piste pour trouver des sites intéressants pour l’automne.

Merci à Jac Moto sport pour l’essaie de Motoneige, le Polaris Widetrack et l’Artic cat Bearcat sont d’excellente machine dans le hors piste et pour la ride.3142

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Phéromones…….l’heure juste

Phéromone…

Suite à plusieurs questions, voici un texte sur les phéromones  pour vous renseigner des charlatans.

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Phéromone
Les phéromones (ou phérormones ou encore phéro-hormones) sont des substances chimiques émises par la plupart des animaux, et certains végétaux, et qui agissent comme des messagers entre les individus d’une même espèce, transmettant aux autres organismes des informations qui jouent un rôle dans l’attraction sexuelle.
Extrêmement actives, elles agissent en quantités infinitésimales, si bien qu’elles peuvent être détectées, ou même transportées, à plusieurs kilomètres.
Chez les mammifères et les reptiles, les phéromones sont détectées par l’organe voméro-nasal, tandis que les insectes utilisent généralement leurs antennes. La production de phéromones chez l’homme n’a pas encore été prouvée, celui-ci ne possédant qu’un organe voméro-nasal s’atrophiant au cours de l’embryogenèse, mais auquel l’odorat peut au moins en partie se substituer. Parmi d’autres, les expériences de Claus Wedekind (1995) invitent à considérer que certaines molécules sécrétées dans la sueur humaine par des glandes spécialisées (de l’« organe axillaire » notamment) sont assimilables à des phéromones ou sont des phéromones. Une difficulté expérimentale est que de nombreux biais scientifiques et sociopsychologiques sont possibles dans l’étude des effets psychologiques des odeurs, parfums ou phéromones sur le comportement et l’humeur des humains1 ou l’émotion2.
Les phéromones sont des substances chimiques comparables aux hormones. Mais, tandis que les hormones produites par les glandes endocrines et circulent uniquement à l’intérieur de l’organisme en participant à son métabolisme, les phéromones sont généralement produites par des glandes exocrines, ou sécrétées avec l’urine, et servent de messagers chimiques entre individus. Elles peuvent être volatiles (perçues par l’odorat), ou agir par contact (composés cuticulaires des insectes par exemple, perçues par les récepteurs gustatifs). Elles jouent un rôle primordial lors des périodes d’accouplement, et chez certains mammifères sociaux, telles les cervidés etlesinsectes. Ces phéromones sont indispensables au bon fonctionnement des espèces. Les phéromones sexuelles des contribuent à l’isolement reproducteur entre les espèces grâce à leur spécificité. Par ailleurs, on a longtemps pensé que l’organe voméro-nasal, très actif chez les animaux, ne fonctionnait pas chez l’homme ; or, plusieurs études ont prouvé le contraire. Les biochimistes savent dorénavant produire des phéromones de synthèse.
Suivant les espèces animales, on trouve des phéromones dans la peau, certaines glandes dermiques (sébacées, sudoripares), la salive, l’air expiré (haleine), les sécrétions des voies urogénitales, les sécrétions vaginales (primates), les glandes anales, les urines ou les fèces.
Les phéromones sont généralement perçues par l’organe voméronasal (également appelé organe de Jacobson), mais chez les mammifères (et peut-être chez l’Homme) certaines sont perçues par le système olfactif principal : des découvertes récentes montrent qu’une seconde famille de récepteurs olfactifs, les « TAARS » semblent reconnaître les phéromones mâles chez les souris.
Le signal phéromonal peut être constitué d’une ou de plusieurs molécules (bouquet phéromonal), émises simultanément ou successivement.
Les phéromones existent sous forme volatile ou soluble ; elles parviennent au contact des cellules sensorielles soit par inhalation, soit après un contact physique. Une substance émise par un organisme peut être liée à une autre molécule, à un transporteur, ou être transformée (par exemple par une action bactérienne), avant de devenir une phéromone.

Phéromones sexuelles

Chez les animaux par exemple, les phéromones sexuelles indiquent la disponibilité des femelles pour être fécondées. Certains papillons détectent un partenaire sexuel à plus de 10 kilomètres. Chez les cervidés, elle est l’hormones la plus précise pour indiquer le moment de l’accouplement en fait c’est les phéromones qui indique au animaux de sexe mâle que le moment d’accouplement est en ce moment.

Phéromones de territoire
Déposées dans l’environnement, elles délimitent un territoire. Chez les canidés, ces hormones sont contenues dans les urines que les individus déposent sur des repères, ceux-ci servant en quelque sorte de « bornes » pour marquer leur « territoire ».
Phéromones d’alarme
Ce sont des substances volatiles (ou très solubles dans l’eau pour les poissons) libérées par un individu en cas de blessure ou d’attaque par un prédateur (chez la souris par exemple6), et qui déclenchent la fuite (pucerons) ou l’agression (abeille) chez les autres individus de la même espèce.
Des phéromones de ce type existent aussi dans le monde végétal : certains végétaux, lorsqu’ils sont broutés ou blessés, émettent des phéromones d’alarme ; leurs voisins de la même espèce réagissent alors en produisant des tanins qui les rendent moins appétants pour l’herbivore, qui doit alors souvent changer de lieu pour trouver une nourriture appétente.
En conclusion
Les phéromones sont en fait des messagers chimiques émis par un organisme vivant dans le but de susciter une réponse chez un autre organisme de la même espèce. Les phéromones sont les seuls élément chimiques transmis par les animaux et les insectes, perceptible par leur sens pour indiquer un état spécifique. Que ce soit un alarme, pour délimiter une territoire ou indiquer la réceptivités positive sexuelle des animaux, les phéromones sont le transmetteur pour communiquer entre les sexes.

 

Ceci dit…méfiez vous des imitations et des charlatants !!

 

sources:
•wikipedia (en) Barha CK, Lieblich SE, Galea LA (2009), Different forms of oestrogen pheromone rapidly upregulate cell proliferation in the dentate gyrus of adult female rats ; J Neuroendocrinol. 2009 Mar; 21(3):155-66. Epub 2008 Dec 6).
• (en) Fang H, Tong W, Shi LM, Blair R, Perkins R, Branham W, Hass BS, Xie Q, Dial SL, Moland CL, Sheehan DM. 2001. Structure-activity relationships for a large diverse set of natural, synthetic, and environmental estrogens (en) Filardo EJ, Thomas P. 2005. GPR30: a seven-transmembrane-spanning estrogen receptor that triggers EGF release. (en) Revankar CM, Cimino DF, Sklar LA, Arterburn JB, Prossnitz ER. 2005. A transmembrane intracellular estrogen receptor mediates rapid cell signaling (en) Dr Judi Gerstung et R. Martin, L’Alternative à l’estrogène, Ed. Exclusif 2006)
Le guide de l’équilibre hormonal naturel, alimentation, huiles insaturées, pilules, vaccins, implants, infertilité, controverse sur la mammographie et les dangers des méthodes actuelles de détection du cancer.
• (en) Barbara Seaman, The Greatest Experiment Ever Performed on Women: Exploding the Estrogen Myth, Hyperion Press, 2003, hardcover
• Ehrlichman H, Bastone L. The use of odor in the study of emotion. In: Van Toller S, Dodd GH, editors. Fragrance: The Psychology and Biology of Perfume. New York: Elsevier Applied Science, 1992. pp. 143–59
• Ehrlichman H, Bastone L. Olfaction and emotion. In: Serby MJ, Chobor KL, editors. Science of Olfaction. New York: Springer Verlag, 1992. pp. 410–38.
• KARLSON P., LÜSCHER M.: Pheromones: a new term for a class of biologically active substances. Nature 183:55-56, 1959
• in M. Barbier, Les phéromones, aspects biochimiques et biologiques
• Cf. Travaux de Sorensen et al. Université du Minnesota, St paul : Hoye TR et al (2007; 72 7544-50 / Fine JM, Sorensen PW (2005) J chme Ecol 31, 2205-10 / Sorensen PW et al. (2005) Nat Chem Biol 1, 324-8.
• Rottman SJ, Snowndown CT. Demonstration and analysis of an alarm pheromone in mice. J Comp Physiol Psychol 1972;81:483–90.
• Molécule 7 fois plus concentrée dans les secrétions masculines et présente dans certains additifs pour parfums ou déodorants dont le marketing vante une action sur la séduction.
• BERGLUND H. , LINDSTROM P. , SAVIC I. Brain response to putative pheromones in lesbian women, Proceedings of the National Academy of Sciences of the United States of America, 103(21):8269-8274, 2006
• SAVIC I. , BERGLUND H. , LINDSTROM P. Brain response to putative pheromones in homosexual men Proceedings of the National Academy of Sciences of the United States of America, 102(20):7356-7361, 2005
• COWLEY J.J. , BROOKSBANK B.W. : Human exposure to putative pheromones and changes in aspects of social behavior, Journal of steroid biochemistry and molecular biology, 39/4B:647-659, 1991
• FILSINGER EE, BRAUN JJ, MONTE WC. An examination of the effects of putative pheromones on human judgments. Ethol Sociobiol, 6:227–36, 1985
• MAIWORM RE. Influence of androstenone, androstenol, menstrual cycle, and oral contraceptives on the attractivity ratings of female probands. Paper presented at the Ninth Congress of ECRO; 1990
• (en) ZHANG J. , WEBB D. M. Evolutionary deterioration of the vomeronasal pheromone transduction pathway in catarrhine primates, Proceedings of the National Academy of Sciences of the United States of America, 100(14):8337-8341, 2003
• FOIDART A. , LEGROS J.J. , BALTHAZART J. : Les phéromones humaines : vestige animal ou réalité non reconnue, Revue médicale de Liège, 49/12:662-680, 1994
• (en) AGMO Anders] Elsevier 2007.
• (fr) WUNSCH Serge,] EPHE-Sorbonne, Paris, 2007.
• Russell MJ. Human olfactory communication. Nature 1976;260:520–2.
• Doty R. Olfactory communication in humans. Chem Senses 1981;6: 351–76
• Schwartz GE. Levels of awareness and “awareness without awareness”: From data to theory. In: Hameroff SR, Kaszniak AW, Scott AC, editors. Towards a Science of Consciousness : The First Tuscon Discussions and Debates: Cambridge, MA: The MIT Press, 1996. pp 279–93.
• Badia P, Wesensten N, Lammers W, Culpepper J, Harsh J. Responsiveness to olfactory stimuli presented in sleep. Physiol Behav 1990;48:87–90
• Kaitz M, Eidelman AI. Smell-recognition of newborns by women who are not mothers. Chem Senses 1992;17:225–9.

 

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Récolte de mon Monster buck 2014 en Alberta

Récolte de mon Monster buck 2014 en Alberta

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La récolte d’un Monster buck est toujours des plus excitants, cette année en Alberta, j’ai eu la chance de récolté un Mega buck et voici ce qui est arrivé. En prospectant une ligne de coupe pour la prospection de l’huile de cette province de l’ouest, j’ai remarqué une forte transition entre la foret mature de conifère et le fond d’un ravin très broussailleux, en longeant la transition sur 300 mètres , j’ai identifiés un méga site de grattage avec naturellement une branche primaire.

Préorbital Le leurre préféré de Stéphane Monette pour la récolte de gros buck

Préorbital

Le leurre préféré de Stéphane Monette pour la récolte de gros buck

j’applique du gel Préorbital avec un ajout de phéromones de mâle chevreuil sur la branche primaire et je laisse tomber un peu de gel dans le grattage. Je me positionne a bon vent à environ 75 mètres en pleine foret. En me positionnant,  je fait deux faux sites de provocation avec Préorbital et des phéromones de mâle mélanger au gel. Il fait moins 10 degrés avec un léger vent Nord-ouest. Je laisse partir quelques calls de males au 2 minutes pendant 15 minutes et je commence une longue séquence de rattling. Après 35 minutes sans arrêt de rattling. Je prend une pause de plusieurs minutes quand à ma gauche, du coté au le vent pousse,   je vois un mouvement au fond de la zone la plus dense de la foret……un chevreuil remonte dans ma ligne d’odeur que le vent propage…….je m’épaule sans hésitation, et dans mon Nikon, je vois une pointes d’un panache, je compte, deux, trois pointes….j’analyse, main beam qui dépasse le bout du nez, deux G2 doubles, très grosse masse au merrain……Bang,!!! je laisse partir le coup, j’ai le coeur qui me sort de la poitrine…. ma seul déception, je suis seul, pas un de mes fils avec moi, ni mon chum steph avec moi, pas de caméra….ce sera pour une autre fois j’ai un méga buck et je suis comblé….merci la vie.

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L’ours Grolar

L’ours Grolar

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Dans les années 1970, ce croisement est déjà observé au parc zoologique de Thoiry, où, faute d’enclos, un grizzly et un ours blanc avaient été réunis2. En 2006, des analyses ADN sont effectuées sur un ours au pelage étrange, abattu près de Sachs Harbour par Jim Martell, dans les territoires du Nord-Ouest sur l’île de Banks dans l’Arctique canadien ; c’est alors le premier individu sauvage dont l’hybridation est confirmée 3. Au printemps 2010, un autre ours tué, à la fourrure blanche mais aux pattes brunes, s’avère être né d’un grizzly mâle et d’une femelle pizzly3.
Des cas précédents d’hybridation avaient été rapportés mais, bien que probables, n’avaient pu être confirmés , les techniques ADN n’étant alors pas disponibles3. En mars 2014, vivraient un peu plus de cinq individus hybrides à l’état sauvage
Le réchauffement climatique amplifie le phénomène : avec la fonte de la banquise, l’ours blanc est repoussé vers le sud du Canada et l’ours brun remonte davantage vers les forêts du nord et les deux espèces sont amenés à vivre sur un territoire commun durant une partie de l’année2.
De plus, la fonte de la banquise entraîne un déclin de la population de l’ours arctique. Cette baisse diminue la probabilité de rencontre et d’accouplement entre un mâle et une femelle et les poussent donc à se reproduire avec une espèce proche comme le grizzly

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Récolte 2014 de M.Serge Lamoureux…..Monster buck !!

Récolte 2014

de M. Serge Lamoureux…..Monster buck !!

Voici le texte de M. Lamoureux….J’ai réussi à déjouer ce magnifique chevreuil mature en créant une ligne de grattage. Environs un peu plus d’une semaine durant et à tous les 2-3 jours j’aillais les rafraichir avec la crème pré-orbital sur les arbres et de l’urine de mâle dans le gratté, avec toutes les précautions d’usage et sans chasser sur ce site. Je ne voulais en aucun cas réveiller la méfiance des chevreuil mais créer une routine.
Puis le samedi 15 nov 14 au matin j’ai rien vu et sans rien déranger j’ai simplement quitter les lieux. Je suis revenue vers 14;00 heures j’arrive sur mon site, je mélange la bouteille de phéromone avec celle de l’urine de chevreuil femelle il y à un léger vent du nord-ouest et là je vaporise le tout en créant une ligne d’odeur et termine avec un tapon accrocher à une branche à bonne distance.
Je m’installe à bon vent à mon poste d’affût, je ne bouge plus et écoute alors commence l’attente. À 15.58 heures ce magnifique mâle mature arrive sous le vent en direction de ma ligne de grattage. Et voilà le résultat.

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Outch…..!!

Outch…..!!

Ours polaire mature de plus de 500kilos…..

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chasse au cougar……

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Pas sur……..

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On mange tu de la pintade……..???

 

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Calibre 4 utilisé pour la chasse à l’oie blanche

Calibre 4 utilisé pour la chasse à l’oie blanche

ces fusils ont aidé à l’instinction des oies blanches au début du siècle. Imaginez la force de frappe de ces fusils, quand 10 chasseurs ouvrais le feu dans un camp d’oies qui mangeais au sol.

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oies-2013-04319436-evenement-regard-oie-blanche-tientMario Beauregard-Montreal Quebec Canada

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